le temps sans temps

Enfant D'afrique,

mon coeur saigne pour toi

enfant d'Afrique, je pleure avec toi.

Homme que fais tu?

tu vis, te plains de ton sort

pas assez de ceci, pas assez de cela

pas assez comme ci, pas assez comme ça

et lui, enfant si doux si tendre,

il ne pense a rien,

il ne fait qu'avoir peur

des coups de fusil, de l'horreur

d'une mère qui pleure qui gémit

d'un père, d'un frère qui se meurt

tué par des balles, encore et encore

Il ne peut plus pleurer, ni crier, non il essait de survivre

dans les bras d'une mère horrifiée

ou encore seul parce que les siens furent tués

tes enfants, hommes tu les couve, le protège,

mais pour eux que fais tu?

n'aimerait tu pas qu'un jour on les sauve dans pareil situation?

Mais que fais tu homme, rien

pendant que tu te plains, d'autres ne peuvent à peine

trop préoccupé à survivre.

nous sommes en nouvelle année

tu penses ne pouvoir rien faire homme?

alors prends le temps et prie pour eux, un instant quelques secondes

mais pense à eux.

Libre,

Oui je suis libre enfin

Libre de toutes ces vies

Libre de tout

il m'a faite ici et maintenant

Moi si humaine,

si douce,

si incomprise

mais si aimante,

Libre je suis libre

car je laisse l'ancien derrière moi

pour enfin vivre

je suis libre d'être ce que je suis

je ne suis plus Elle, ni une autre,

je suis juste moi

rien que moi

et seulement moi

quelle plaisir

quelle liberté de pouvoir dire

que je suis ainsi

libre

enfin.

Merci à toi Père/Mère

toi ma source

toi ma lumière

toi qui me donna vie

et tant de vie

pour enfin dire aujourd'hui

Je suis LIBRE!

Vivre dans le monde sans être dans le monde, cette phrase de mon ami, me vient et revient sans cesse.

Vie spirituelle très riche en émotions, je me demande toujours pourquoi tout cela.

Alors arrive le temps de repos, où on a envie de ne plus vivre cela, d'être humaine dans toute sa splendeur, mais l'âme derrière s'agite, à demander je ne sais quoi.

Avancer, encore et encore, je ne suis plus maitre de mes pas, j'avance guidée par une force inconnue, et pourtant parfois, l'humaine se demande encore si elle avance.

rencontre, rupture, il ne cesse de pleuvoir  des croisées des chemins. L'âme sait, mais l'humaine souffre!

Fatiguée, puis à nouveau remontée, en dent de scie, toujours et encore, les montagnes russes!

La connection au ciel dans les plus durs moments s'établit, alors plus rien, juste de l'amour, plus de pensée, plus de question, non juste un état.

Mais revenu à la normale, toujours les mêmes questions qui reviennent.

Il est alors temps de revenir à la normale, et de laisser le spirtuel de côté en attendant que de lui même, il revienne à votre porte sonner!

De tout temps nous sommes là nous veillons au bien être de la terre hommes parmis les hommes nous avons pourtant était autres Aujourd'hui, la Mère en appelle à ses gardiennes. Vous mes soeurs qui entendez l'appel, réveillez vous, il est temps.

Où sont donc les généraux ?

Que fais tu ?

Es tu encore en train de rêvasser à ce qui va pouvoir ce  passer ou alors vas-tu enfin te décider à te lever?

Que fais tu des dons que l’on t’a donné, serait ce à manger pour les cochon?

Réveilles toi, Enfant il est temps !

Réveille toi avant que l’on vienne te secouer, nous te le disons encore une fois, réveille, toi, sors de ta torpeur, ne te cache plus, le visage derrière ton voile, tu n’en a plus besoin, tout est là en toi, lève le voile et tu verras qu’en ton corps tu portes toutes les empreintes.

Libères, le sceau, oui le Sceau, tu as bien entendu, ne feins pas de ne pas comprendre.

Il t’a été dit enfant et cela fait un bon moment que tu devais accomplir ta destinée, ne recule pas, ne regarde plus derrière, va enfant tu es maintenant face au néant.

Il n’y a plus d’échappatoire, le moment est là, va et réveille toi.

Dénoue le sceau, enfant, ton père t’attends !

Je ne sais pas dénouer le sceau,

Si tu le sais, lorsque tu auras enlevé crainte et manque de confiance, tu sauras quoi faire.

Dans le corps de lumière se cache le joyau du père

De l’incandescence viendra l’insouciance

Dans ce lieux aride et sans vie

La graine prend vie

Ici ou quatre mille de cela se trouve le camp d’ortandan

La grisaille éphémère nous mène jusqu’à la route du père

Venu d’outre tombe

Le cercueil sans vie

Ramène à lui ceux pour qui la nuit fut veine

Dans le ciel grisonnant venu de l’enfer se trouve le prince alter ego

Il montre le chemin aux parvenus et ceux qui de la magie se sont nourris sans jamais au père rien donner.

Dans la grisaille de la tombe se trouve l’enfer et le puit sacré car quand l’un joint l’autre alors la fusion se crée

Des molécules naîtront un vent nouveau

Alors du ciel une pluie pestilentielle s’abattra

Le peuple abattu sera

Mais foi en loi, Dieu interviendra

Une onde de bénédiction se propagera

Car la malédiction malheur ne fera

Que ceux qui savent disent

Que ceux qui entendent écoute

Car bientôt en ce ciel un monde viendra

Des ailleurs et d’ici il se fera un pont, couvert de glace la cité jumelle apparaît

Les chercheurs en son sein trouveront la bombe.

Avertis soyer car le seigneur à parler.

Dans ta grande tour,

penché sur tes livres

tu m'as accueilli,

je t'ai trouvé un peu grincheux et taquin,

un vieux bourru,

et pourtant j'étais là te regarder et t'écouter parler,

tu m'as fait faire un voyage,

donné un elixir, inconnu de moi

me demandant encore ce qu'il va bien pouvoir me faire

mais vois tu je suis là

vieux grincheux!

bien entendu tu ne verras que de l'amour dans cette appelation

tout comme je sais que tu en mets lorsque tu m'appelles bourrique

oui, rêve, réalité, j'ai fait le chemin

à genoux dans la crypte je t'attends,

je suis là, prête à éclore dans ce présent!

Au creux de mon être, une flamme vibre

elle est porteuse d'espoir,

elle m'éclaire dans les moments les plus noirs

de vie en vie

d'échec en échec,

elle a su me donner l'espoir

L'espoir de croire que tout changerai demain

je fus belle

je fus noire

pourtant je fus toujours et encore dans ses pas

accepter sa noirceur pour en dégager de la lumière

combat éternel qui prend fin

car de sa lumière

de sa radiance

il mit terme à tout cela

à des vies de servitudes;

pour enfin renaitre

dans ce que vous appelez Liberté

Oui, Liberté! mon Ame exulte

Mot si beau

et pourtant Homme

comme tu l'ignore

et le voit si peu

qu'as tu fais de ta liberté dis moi

pourrais tu me dire ici et maintenant que tu es libre

où alors es tu attaché à ces chaines invisible

Réveils toi homme

et devient libre.

Prisonnière de mon corps, je veille et veille sans cesse le moment où l'humaine un jour à moi viendra!

tourmentée par ses peurs, elle n'ose me regarder

jugement sans merci de sa part à mon égard,

elle regarde, vit et revis ces moments du passé

qui pour moi ne furent que des leçon,

elle n'écoute pas la damoiselle,

non elle se jette à corps perdue dans ses émotions

et pourtant moi, fière de mon diadème

je la porte vers l'ultime émotion

elle ne regarde que les actes

ni mon essence,

ni ma demeure.

Pourtant elle moi, enfant

oui "Tu" es moi,

petite graine

qui commence à peine à éclore suite à la germination

tu travesti mes mots,

qu'a cela tienne

je passerai par un autre chemin

ton cerveau galope,

au détriment de ton coeur

pourtant c'est bien moi qui suis là,

encore et encore

à t'appeler à moi

à te rappeler à Lui

Noter Père/Mère

Source du tout,

oui appelle cela comme tu veux,

tu chevauches un cheval invisible

croyant avancer au loin

et pourtant

tu ne bouges pas tu restes là

sans te préoccuper de moi,

tu travesti encore mes mots

qu'à cela tienne

je reviendrai encore

jusqu'à ce qu'un jour au travers de ton miroir

tu lèves les yeux vers moi

Moi ton âme.

Le temps, n'a pas de temps!

l'espace n'existe pas, Hier n'est plus, maintenant est déjà fini, il ne reste que ce qui arrive et qui est déjà à chaque mot, chaque battement coeur.

Tout est dans un ordre parfait, la matière perd de son importance, seul reste l'âme pour qui le temps n'existe pas. Elle est simplement à chaque instant.